Quel est le nombre d'adresses e-mail idéal pour commencer à proposer des ventes ou des offres dans le secteur de la finance, de la banque ou de l'assurance ?

ChimneyChaplin58 - le 09 Avril 2025
Hello tout le monde, Je me demandais, pour ceux qui prospectent en ligne dans la finance, la banque ou l'assurance, quel volume d'adresses mail vous semble un bon point de départ pour lancer des campagnes de vente ou de promos ? Je cherche un ordre de grandeur, histoire de pas partir avec une base trop maigre et de pouvoir tester un peu les retours. Des avis ?
Commentaires (13)
Question intéressante. Déjà, est-ce que vous segmentez vos listes par type de produit ou service proposé ? Parce que balancer une offre assurance vie à quelqu'un qui cherche un crédit immo, c'est direct à la corbeille. Sinon, pour avoir un retour significatif, je dirais qu'il faut au moins viser 5000 adresses qualifiées, en sachant que le taux d'ouverture et de clic sera forcément plus faible que sur une campagne plus ciblée.
5000 adresses, oui, mais qualifiées, c'est le nerf de la guerre. J'imagine que Clément6 parle bien d'adresses où on a un minimum d'info sur les prospects, pas juste des adresses récupérées au hasard sur le net ? Parce que sinon, bonjour le taux de rebond et la délivrabilité qui s'effondre... et le risque de finir blacklisté par les fournisseurs d'accès.
Perso, 5000, ça me parait ÉNORME pour démarrer 🤔. Surtout si on est un petit cabinet ou indépendant. Déjà, les qualifier correctement, ça prend un temps fou 🤯. Je pensais plus à tester avec 1000-2000, bien ciblées, et ajuster le tir après les premiers retours. On peut vite se décourager avec des chiffres pareils 😅.
Je suis d'accord, 5000 adresses pour commencer, ça fait une montagne de boulot 😅. Mieux vaut tester sur un échantillon plus petit, genre 1000-2000, mais alors il faut vraiment soigner la qualification. Genre, scraper LinkedIn pour choper des infos clées sur les prospects, ça peut aider à affiner le ciblage et à pas envoyer des offres à côté de la plaque. 😉
Moui... scraper LinkedIn, c'est pas hyper RGPD-friendly, non ? 🤔 Je dis ça, je dis rien... On risque de se faire taper sur les doigts si on n'a pas le consentement des personnes. Autant faire de l'inbound, ça prend plus de temps, mais au moins on est tranquille 😇.
Exact. Le scraping peut poser de sérieux problèmes légaux. Avant de se lancer là-dedans, il est plus prudent de consulter un juriste spécialisé dans la protection des données. Mieux vaut prévenir que guérir, surtout avec le RGPD.
Tout à fait d'accord avec Eleanor48. Le RGPD, c'est pas une blague. On a eu une formation là-dessus au boulot, et franchement, ça fait froid dans le dos les amendes qu'ils peuvent coller... Mais bon, je m'égare. Revenons à nos moutons : plutôt que de scraper, est-ce que vous avez pensé à des partenariats avec des courtiers ou des comparateurs en ligne ? Ils ont déjà une base qualifiée, et ça peut être un bon moyen de démarrer sans se prendre la tête avec l'acquisition. En plus, on touche une audience déjà intéressée par les produits financiers.
Excellente idée.
Partenariats avec des courtiers, bonne piste. Mais faut pas se leurrer, ça coûte aussi, hein. Et la qualité des leads, c'est jamais garanti à 100%. Cela dit, c'est sûr que c'est moins risqué que le scraping sauvage. En creusant un peu l'idée de ChimneyChaplin58 et Eleanor48 sur un échantillon plus restreint, je me dis qu'il y a peut-être un juste milieu à trouver. C'est là que les "emailsséquenceprospection" prennent tout leur sens. Si on part sur une base de, disons, entre 1000 et 2000 contacts comme suggéré, l'objectif devient de les engager de manière pertinente et personnalisée. C'est pas juste envoyer une offre générique à tout le monde. Si on en croit les stats que j'ai dénichées, on peut "tripler" le "tauxderéponse" en soignant la "personnalisation": on passerait de "9%" à "27%". Ça change la donne ! Et ça, c'est pas du vent, c'est prouvé que la "personnalisation" peut "augmenter" le "tauxd'ouverture" de "30%". Donc, moins de volume, mais plus d'impact. L'idée, c'est de mettre en place une "séquence" bien ficelée, avec plusieurs emails qui apportent de la valeur au prospect avant de lui balancer une offre commerciale. Faut construire une relation, quoi. Du coup, même avec une base plus petite, on a de meilleures "chances" de "conversion". Évidemment, ça demande un boulot de fond pour bien connaître ses prospects et adapter le contenu des emails en conséquence. Mais à mon avis, c'est un investissement qui vaut le coup. Surtout au début, quand on a pas les moyens de se payer des campagnes à grande échelle ou de s'offrir les services d'un juriste pour vérifier la conformité RGPD de nos pratiques de scraping. On peut toujours commencer petit et grandir ensuite, non ?
Clairement.
Email sequence, c'est ce qu'on fait, mais c'est chronophage. Faut vraiment voir si le retour sur investissement est là.
Pour optimiser le temps passé sur les séquences d'emails, pensez à l'automatisation, mais intelligemment. Des outils CRM permettent de personnaliser en masse et de suivre les interactions. Par exemple, vous pouvez créer des modèles d'emails avec des champs variables (nom, entreprise, etc.) et programmer l'envoi en fonction du comportement du prospect (ouverture, clic). L'idée, c'est de gagner du temps sur la partie répétitive tout en gardant un niveau de personnalisation acceptable.
Attends, ChimneyChaplin58, quand tu dis "tester", tu penses tester quoi exactement ? 🤔 C'est le message, l'offre, ou le ciblage en lui-même que tu veux valider avec cette première campagne ? Parce que si c'est juste pour du A/B testing de titres d'emails, 1000 adresses, ça peut suffire. Mais si tu veux vraiment valider un tunnel de conversion complet, là, c'est peut-être un peu juste... 🤔